9 septembre 2012
Ode aux VRAIS fromages
Que tu sois de chèvre, de vache ou de brebis,
En pyramide, rondin ou brique,
Ta conception vient d’une étrange alchimie
Qui libère des arômes tellement magiques
Méritant d’être inscrits au Larousse
Que les plus fines épices en sont jalouses.
Comment ais-je pu te comparer,
O toi grandiose gruyère râpé,
A l’insipide fromage indien,
Qui sans honte prend ta place en magasin ?
Mes papilles s’émoustillent
Devant le divin plaisir retrouvé
Du fromage chaud et odorant qui file
Et fond délicieusement sous le palais…
Je conclus cette éloge par 4 mots : Merci Papa, merci Maman !!
(Et bien sûr merci David d’avoir fait le messager^^)
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